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Le Gars

de Marina Tsvetaeva

 

conte tragique pour parcs et terrains vagues

création 2014

sélection au Festival Nantivales - Effervescences,

Nant (12)  août 2014

avant première au Château de Fajac la Selve (11)

 

Soutiens :  Centre d'animation culturel - Paris 20e,

La Ligue de l'enseignement (Fédération de Paris), la ville de Mazères et le Château de Fajac la Selve.

Ceci est l’histoire d’une jeune humaine qui aima mieux perdre ses proches, soi-même et son âme que son amour. Ceci est l’histoire d’un damné qui fit tout pour sauver de soi celle qu’il devait infailliblement perdre. D’une humaine devenue inhumaine.

D’un damné devenu humain. Et, finalement, de deux devenus un.

Marina Tsvetaeva

 

 

Entre le chatoiement exotique des costumes et des chants, le son mélancolique du violon, la danse et le vin, «Le Gars» invite les spectateurs à une fête, une fête païenne à au cœur de la nature.

Les robes multicolores tournent, les bottes claquent le sol, les joues rouges sont celles de poupées russes qui s’emboîtent, une fille, deux filles, trois filles...

 

Du rayonnement solaire des rires et des danses à couper le souffle, vers l’intimité sombre des instants oniriques, où il faut « tendre l’oeil » pour voir, le spectacle est une plongée sensible dans l’énigme des passions humaines. Les mythologies s’y croisent, les univers oniriques aussi ; les peurs ancestrales, les contes enfantins et sanguinaires. Une histoire incandescente et douloureuse se déroule comme une tragédie grecque.

 

Un jeune homme à la double nature, un beau buveur de sang, préfère disparaître que d’accomplir son destin. Une jeune fille préfère ne pas avoir vu ce qu’elle a vu plutôt que de perdre son amour...

 

Un conte universel, foisonnant de signes, écrit dans un français réinventé par une Russe. Les registres se percutent, beauté des mots doux qui en frappent d’autres, crus, presque obscènes. Les langues sont jeunes et impertinentes. La nature mystérieuse. Les corps fougueux, pleins de sang.

 

« La force d’un texte poétique d’une grande beauté, alliée à la magie d’un folklore slave réinventé, fait de fraîcheur et de couronnes de fleurs posées sur les têtes, font du «Gars» un petit joyau étincelant. Un spectacle à la croisée des genres, parfumé d’herbes folles qui enivrent les jeunes filles. Merveilleusement hors du temps. » J. Cardonnel

 

mise en scène : Anna KEDZIERSKA
 

avec :
Sophie KIRCHER - Maroussia
David MAISON - Le Gars
Anna KEDZIERSKA - La Mère
Sarah BUSSY - Macha
Mathilde BOURBIN - Glâcha

Durée : 50 min
Tout public à partir de 10 ans
Spectacle couche-tard pour plein-air

avec musique et chants

 

 

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